mardi 30 août 2011

Plus fort que les P4

Hier soir, à Port-Leucate, au moment du meeting officiel qui lançait la candidature de Philippe Poutou pour l'élection présidentielle de 2012, se tenait à quelques mètres un contre-meeting organisé par le Courant Anarcho-Droitier.

Contrairement à cette pseudo-opposition de gauche du parti, qui se complaît désormais à suivre docilement la direction électoraliste, faisant ainsi le lâche choix de la normalisation, nous autres anarcho-droitier restons fidèles à nos engagements et au corpus théorique qui est le nôtre, en s'opposant sans raison particulière, juste comme ça.

Il apparaît désormais clair que la seule véritable opposition au sein du NPA est bel et bien le Courant Anarcho-Droitier. Il n'est pas trop tard pour redresser notre organisation, mais nous nous devons de réagir vite pour sauver le NPA du désastre annoncé.

Tous ensemble, pour un NPA anarcho-droitier maintenant !


Le Courant Anarcho-Droitier


Un premier succès populaire pour le Courant Anacho-Droitier !





dimanche 28 août 2011

Nouvelle Pétanque Anticapitaliste


 Une fin d'après-midi, aux universités d'été du NPA. Le soleil darde la Méditerranée de ses derniers rayons. Après une intense journée à penser à l'avenir du parti, de la gauche, de la révolution, et du monde en général, quelques militants se retrouvent pour profiter dans la convivialité d'une petite partie de pétanque, dans le cadre de l'atelier « Pétanque Anticapitaliste », animé par un gentil camarade.

« Bon bah, camarades, on va faire les équipes, hein. Comment on fait, on tire au sort ? Non ? Elles sont déjà faites ? Ah. Bon. Et ça nous en fait combien ? Quatre ? Tiens, c'est cocasse, c'est le même nombre que les plates-formes au congrès, c'est incroyable les coïncid... Ah c'est fait exprès ? Vous voulez pas jouer avec des déviationnistes ? Bon. Ben c'est comme vous voulez, écoutez, on est là pour s'amuser après tout...

Eh ben on va s'y mettre alors... Quoi ? C'est quoi le problème ? Ah, les équipes 3 et 4 respectent pas la parité, et c'est pas normal ? Non mais vous êtes sûrs que c'est important, la parité, dans le cadre de la pétanque ? Ah non non non non je n'insinue rien du tout, moi. Non, je suis pas un cryptosexiste hétérocentré, enfin... Je disais ça comme ça... Si c'est si important que ça, on va demander aux copains de trouver des copines pour jouer avec eux...

Dix minutes plus tard...

Allez, cette fois-ci, c'est parti, on joue. L'équipe 1 c'est à vous... Oooh joli ! Très bien joué ! Quoi ? Faut pas que j'applaudisse pour garantir la sérénité des déb... du jeu ? Ok, pardon pardon, je le referais plus. Je peux secouer mes mains au dessus de ma tête quand même ? Non plus ? Ah. Tant pis. Bon bah c'est à vous de jouer, l'équipe 2. Allez-y, on vous regar...

[Prout ! Hihihihihihi !]
Eh mais les deux guignols là, les anarcho-trucs ou je sais pas quoi, ça vous dérangerait pas d'aller faire les cons plus loin ? Parce qu'on joue, là. Allez, soyez sympa, sortez du terrain...
'Sont pénibles ceux-là quand ils s'y mettent... Donc, on en était où ? Ah oui. Les P4, enfin, l'équipe 4, c'était à vous. On vous regarde.
Eh, mais c'est que c'est pas mal du tout ! Bon, le truc par contre, c'est que ça, c'est pas une boule de pétanque, c'est un volant de badminton. Oui ? C'est l'outil le plus adapté pour jouer à la pétanque ? Mais... Non mais en fait c'est que... mais laissez-moi parler enfin ! Non, c'est pas que je veuille bafouer votre droit légitime et démocratique d'utiliser un volant de badminton pour jouer à la pétanque, mais c'est juste qu'en fait... Ah, vous quittez le jeu pour marquer votre opposition à ces dérives autoritaires et vous allez écrire un tract dont on est pas près de se remettre ? Bon. C'est vous qui voyez.

Cinq minutes plus tard

Excusez-moi, je vais peut-être encore me faire pourrir la tête, mais je me posais juste la question : l'équipe 1, c'est quoi votre stratégie, exactement ? Parce que là, depuis tout à l'heure, y en a un qui rapproche les boules de l'équipe 3 du cochonnet, pendant que l'autre décanille ses propres boules pour donner des points à l'équipe 2. Je critique pas, hein, c'est juste histoire de comprendre. Ah, y a rien à comprendre, c'est comme ça, c'est tout ? D'accord, d'accord, je vous laisse jouer tranquilles, excusez-moi. Allez-y, on vous reg... Attendez ! Pourquoi il en manque un de l'équipe 3, là ? Il est où ? Il est parti jouer dans une équipe de pétanque unitaire parce qu'il était vexé d'être mené de trois points, et qu'il considérait que cette partie c'était vraiment n'importe quoi, et qu'il n'y avait plus de travail commun possible ? Bon. Donc t'es tout seul pour finir la partie. Tu vas galérer un peu, non ?

5 minutes plus tard

Eh ben voilà, c'est l'équipe 2 qui gagne, félicitations les gars. Ils sont où les autres ? Ils sont partis analyser les raisons de leur défaite ? Ah d'accord. Par contre, si vous pouviez arrêter de gueuler l'Internationale, vous faites peur aux gamins de la crèche à côté...

Aaaah. Eh ben c'était bien agréable cette petite partie. Vous savez quoi ? Je trouve que c'est quand même sympa, ce genre d'activités, ça permet de retisser des liens entre nous, c'est important. Mais je vais quand même aller m'allonger un peu, histoire de faire le point. »

vendredi 26 août 2011

A propos du guide StreetPress des camps d'été des mouvements politiques des jeunes

Ce lien vers un article de StreetPress inaugurera ici une nouvelle rubrique : ''Chez les autres''. Comme annoncé précédemment, nous irons voir ce qui fait dans d'autres organisations et tenteront d'en tirer des leçons.

Les premiers donc, à descendre dans le parking souterrain du Fight Club, seront les camps d'été des organisations de jeunesses. On vous laisse prendre connaissance de l'article... 
Voilà c'est fait.

En deux mots qu'en retenir ?

Que les jeunesses identitaires confirment leur misère sexuelle. Ils tentent d'appâter le chaland avec la promesse de la présence hypothétique de 15% de filles. Avec ce genre de motivation, l'Europe blanche est bien gardée.

Qu'à l'extrême-gauche il existe encore plus fracassé de la tête que les plus fracassés de nos camarades du NPA (mais on n'a jamais dit le contraire) : les jeunes du Parti des Travailleurs de Schivardi. Sous prétexte d'opposition à l'Union Européenne, ces caves s'acoquinent avec l'Action Française. Comment qu'on est soulagé qu'ils ne soient pas chez nous ceux-là. ! Donc on fait un post-it qu'on colle sur notre frigo : ''penser à faire un billet pour pourrir le PT''.

Enfin, les camps d'été de gauche JC et NPA semblent les plus sympathiques... pour des vacances. Ce sont aussi les seuls à évoquer l'aide financière ou les systèmes de péréquation (chacun paye en fonction de ses ressources). Au moins on est en accord avec ce que l'on prône.

Nous pourrions étudier plus le fond de ces camps d'été, mais nous partons à l'université d'été de Port-Leucate demain, alors en fait non...

Patience


lundi 22 août 2011

Mais c'est qui ces connards ?

Telle est la question qui va surgir chez beaucoup d'individus en commençant à survoler ce blog. « Connards », nous ne le sommes pas tant que ça ; nous sommes anarcho-droitiers, il y a une légère nuance (voir la charte).

Nous sommes (encore) des militants du NPA, et sommes, disons... quelque peu réservés sur l'orientation que prend ce parti qui se voulait ''nouveau''. Nous sommes d'autant plus sceptiques en le comparant aux ambitions que les membres de la LCR et les milliers de personnes intéressées par le projet NPA s'étaient fixés au départ. « Faire un grand parti rassemblant tous les anticapitalistes, un parti de masse s'inspirant du meilleur de toutes les composantes du mouvement ouvrier, adopter de nouvelles façons de militer, etc etc... »
Si on ne veut pas être méchant tout de suite (mais , n'ayez crainte, on le sera férocement dans ce blog), disons simplement que pour l'instant le NPA ressemble à un parti d'extrême-gauche classique avec des militants d'extrême-gauche... classiques. Et l'extrême-gauche classique ne séduit ni ne fonctionne.

D'où l'idée (géniale) du Fight Club : nous sommes entre camarades et on va se taper dessus. Vous allez voir : ça fait un bien fou. Ainsi, il y aura des articles de réflexion, d'études et il y aura des billets gratuitement méchants. N'est-ce pas jouer contre son camp ? Non. Notre démarche est celle d'un médecin qui décrit les symptômes d'une maladie. C'est dur et sans pitié, mais c'est nécessaire. Au malade, ensuite, d'adopter un comportement sain s'il veut survivre et avoir une descendance.

Si l'irrévérence et l'impertinence, qui seront la signature des anarcho-droitiers, en blessent certains, tant mieux. Qu'ils se disent que « tout ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort » et qu'ils prennent du recul sur leur façon de militer. Si nos caricatures, et nos vannes de potaches les énervent, qu'ils les réutilisent contre nos adversaires communs.

Enfin, nous avons l'intention de poursuivre, avec tous ceux qui le souhaitent le projet initial du NPA, à savoir « rassembler le meilleur des différentes traditions du mouvement ouvrier ».Nous inviterons donc d'autres courants du mouvement ouvrier – révolutionnaires ou réformistes – à descendre dans notre cave pour voir ce qu'ils ont dans le ventre.

Nos adversaires seront ceux qui ne rigoleront pas à nos blagues.

Ça va chier !



vendredi 19 août 2011

Ce qu'est un curé rouge

Le curé rouge sera souvent l'objet de nos attaques, il convient donc de le définir avec précision. Le curé rouge est un garçon ou une fille qui peut être fort sympathique à la première rencontre, mais qui va se révéler rapidement très fatiguant à cause d'une série de travers redondants. Travers qui vont faire dire à bien des gens : « Décidément, je ne suis pas comme eux ». Ce qui est un lourd handicap, nous y reviendrons à la fin de ce billet.

Le curé rouge se réfère aux grands anciens et aux textes sacrés. Ses conversations sont truffés de « selon Marx » ou « comme disait Bakounine » ou « si tu avais lu l'État et la Révolution tu saurais que... ». Le curé rouge a une lourde tendance à la citation. Il voue un culte aux saints et aux héros et gare à ceux qui blasphèment les icônes.

● Le curé rouge a parfois besoin d'un « grigri » qui le rassure : un badge à l'effigie d'un de ses héros, une petite étoile rouge, un A cerclé, un miroir de Vénus, un sigle antifasciste...

●Le curé rouge a besoin de cérémonial. La fin des meeting et des grandes réunions doit ainsi être ponctuée d'un chant religieux : l'Internationale. Il convient alors d'adopter la posture adéquate : poing levé, recueillement et gueule en biais. On peut également agiter des drapeaux rouges pour chasser le mauvais œil.

● Bien qu'il soit la plupart du temps athée, le curé rouge pense que les militants morts le regardent, quelque part dans le ciel. C'est pour ça qu'il refuse de changer ses habitudes ou d'abandonner le fétichisme cité plus haut : « on a toujours fait comme ça » et « c'est pour respecter la mémoire de ceux qui sont morts en luttant ».

● De même, le curé rouge croit au paradis. « Sous le communisme il n'y aura plus de chagrin d'amour » disait Josiane Balasko dans un célèbre film ; on peut aussi entendre « Quand il y aura le socialisme/l'anarchie, il n'y aura plus besoin de prisons... »

● Le curé rouge est persuadé de parler au nom du peuple et de connaître les désirs que le peuple lui-même ignore : « Si les gens s'abstiennent aux élections, c'est parce qu'ils rejettent le système et veulent le renverser ». A l'instar du concept de « croyant qui s'ignore » de l'Église Chrétienne, pour le curé rouge, l'ouvrier est un révolutionnaire qui s'ignore.

● Le curé rouge pratique l'incantation : « nous sommes le parti des luttes », « nous sommes un parti à l'image de la société... », répétés à foison dans un réflexe d'auto-persuasion rappelant fortement le credo catholique.

● Tous ceux qui ne pensent pas exactement comme le curé rouge sont des mécréants. Il use alors de formules magiques qui permettent de couper court à toute discussion telles que : « tu es sectaire » ou « c'est une position droitière » ou, plus sobrement, « sale facho »...

● Enfin le curé rouge a l'esprit de sacrifice. Pour lui le militantisme est un sacerdoce, dans lequel on se purifie par la souffrance. C'est pour cela qu'il distribue des tracts à 6h du matin devant une usine, qu'il colle des affiches sous la pluie en plein hiver, ou qu'il passe cinq heures en réunion. Quand il veut un ''parti de militants'', militants s'entend comme ''des gens exactement comme lui'', avec les mêmes pratiques.

Voici en huit points ce qu'est un curé rouge. D'autres tares pourraient être ajoutés, les laboratoires du Courant Anarcho-droitier continuent leur étude de ces individus.
Qui a ce genre de comportement dans la vie de tous les jours ? Personne. Qui alors peut se reconnaître dans ces militants ? Personne, à part d'autres militants. Et pour quelqu'un qui a déjà des journées très chargées, ce type de comportement ne fait pas envie. Ce quelqu'un restera au mieux un sympathisant. Bref, le curé rouge est un lourd handicap. Il serait temps que l'extrême-gauche devienne vraiment laïque.

mardi 16 août 2011

Les 10 Anti-Commandements

Ce qu'il ne faut surtout pas faire en réunion NPA:

Comment intégrer au mieux des personnes qui n'ont jamais fait de politique et qui ont osé franchir le pas et venir à une réunion du NPA ? Rappelons que le NPA se veut un nouveau parti ; il doit donc réfléchir à la façon dont on intègre des nouveaux profils d'adhérents, pour permettre une nouvelle façon de faire de la politique.
Quelque soit le contexte, il est toujours plus ou moins intimidant d'intégrer un groupe déjà constitué, surtout si l'on a pas été amené par un membre de ce groupe. Les premières impressions que feront les militants sur le nouvel arrivant influeront sur la suite de son engagement. Comment faire en sorte que cette première fois se passe pour le mieux ? Comment éviter que les nouveaux s'enfuient en courant ?
Voici, d'après nos expériences, ce qu'il ne faut, ou qu'il ne faudrait, pas faire :

1. Parler par sigle : on arrive parfois à créer de vraies langues étrangères. Par exemple : '' les membres du CPN de la P1 présents à la CN du NPA ont fait NPPV à la motion 2 du texte A'' . Si le non-initié ne comprend pas un mot sur trois, il va avoir du mal à se sentir concerné.

2. Faire comme si tout le monde connaissait Marx, Freud, l'histoire de la révolution de 1917 ou les Béruriers Noirs. Cela fait partie de la culture du groupe militant, et pas sûr que les nouveaux la possèdent. Expliquons en une phrase un élément dont on est pas certain que l'interlocuteur le maîtrise, ou du moins ayons la politesse de demander s'il connaît.

3. Ne pas expliquer les modalités de fonctionnement d'une réunion, comme si c'était quelque chose d'inné. Et après, remettre à sa place le nouveau qui n'aurait pas respecté la procédure (notamment pour les tours de parole). Là encore, on explique dès le début.

4. S'habiller en « militant ». C'est à dire avec force keffieh, vestes militaires, t-shirt revendicatifs, badges, lacets rouges... Dans la vraie vie, les gens ne s'habillent pas comme ça. Si l'on veut intégrer des « vrais » gens, on n'instaure pas une coupure visuelle entre les militants et les autres. Les déguisements on les garde pour les manif (et encore...).

5. S'attacher au folklore de l'organisation. Nous pensons surtout à l'Internationale, la chanson. Le jour où tous nos camarades auront compris que c'est une messe comme les autres qui met mal à l'aise ceux qui ne la connaissent pas, on aura fait un grand pas vers le socialisme du XXIème siècle. Nous y reviendrons plus longuement dans un prochain billet.

6. S'engueuler devant des nouveaux adhérents. Une ambiance pourrie dans une réunion cela ne donne pas envie de revenir. Cela ne donne pas envie non plus de prendre position de peur de se faire engueuler à son tour. On prendra soin de garder un débat courtois, sans hausser le ton.

7. Avoir une attitude condescendante ou hautaine avec les nouveaux venus, rire des questions naïves ou râler de leur « ignorance ». Il n'y aura pas de deuxième question dans ces conditions. De même, ne pas s'adresser aux nouveaux venus, ne pas leur demander leur avis, ou leur couper la parole. C'est impoli et ce n'est pas une façon de recevoir un invité.

8. Distribuer un texte avec des -e- à la fin de tous les mots. Le but est de ne pas privilégier un genre par rapport à un autre, de prendre en compte le féminin comme le masculin. Nous, on veut bien, mais ça donne rapidement des textes illisibles. Exemple : ''les étudiant-e-s salarié-e-s sont menacé-e-s par la précarité. Il-elle-s devraient être adhérent-e-s d'un syndicat...'' Le summum est l'invention du terme sans-papier-e-s (rappelons que le mot sans-papière n'existe pas). Si on veut accorder la même place au féminin qu'au masculin dans un texte, on écrit les deux termes à la suite : ''les étudiants et les étudiantes''. C'est français et tout le monde comprend sans avoir mal aux yeux.

9. Fantasmer à voix haute. Du genre « de toute façon, pour obtenir nos revendications, il faudra un jour prendre des kalachnikov » ou « quand le NPA dépassera les 30% ce sera la guerre civile ». Tous le monde ne rêve pas d'être un guérillero ou un bolchévique. Que ceux qui ont de tels souhaits les gardent pour leurs séances d'onanisme.

10. Enfin, juger après quelques temps un adhérent par rapport à son taux d'implication dans l'organisation. Le temps disponible pour s'investir est différent d'une personne à une autre. Ce n'est pas parce que quelqu'un ne fait qu'une réunion tous les deux mois que son avis compte moins que les colleurs d'affiches hebdomadaires.

Nous pouvons également rajouter un onzième anti-commandement qui s'adresse plus particulièrement à vous messieurs :

11. Draguer illico la petite demoiselle qui assiste à sa première réunion. Elle est venue discuter politique, pas chercher un mec ou un plan cul. Si sa conclusion à l'issue de la réunion c'est de se dire que les gars du NPA sont des porcs comme les autres, elle ne prendra pas la peine d'en faire une deuxième. Si vraiment c'est le coup de foudre, messieurs, vous prenez rendez-vous en dehors du cadre politique.

Voici quelques modestes éléments pour éviter de passer pour des extraterrestres et de rester entre « gens qui savent ». Si l'on est capable de comprendre les enjeux de la communication, le NPA fera de grand progrès du côté du « N ».